CINÉDANSE
Déployer la danse à travers les écrans, les nouvelles pratiques, les nouvelles technologies
Après des éditions à Montréal en 2012, à Québec en 2015, à Ottawa en 2019, à Rouyn-Noranda en 2022, c’est à Caraquet, dans la Péninsule acadienne au Nouveau-Brunswick, que débarquera la 5e édition de l’événement Cinédanse. La programmation détaillée sera révélée en mai.
Au cours des années, notre Caravane a promu, soutenu et présenté plusieurs artistes dont les œuvres questionnent le lien à redéfinir entre les générations, le rapport à l’autre, le rapport trouble au vieillissement, la fluidité des genres et défendent l’acceptation de l’amour sous toutes ses formes. Figurent au nombre des artistes québécois et canadiens qu’elle soutient; la chorégraphe Chantal Caron (Saint-Jean-Port-Joli) Martine Époque et Denis Poulin (Montréal), la cinéaste Béatriz Mediavilla (Rouyn-Noranda), Ariane Boulet (Montréal), Robin Poitras (Régina), Yvonne Coutts (Ottawa), Lana Morton (Ottawa/Val d’Or), Isabelle Mapachee fondatrice du Pow-Wow de Pikogan et la métisse Nyla Carpentier (Vancouver). De l’étranger, la Caravane soutient notamment la démarche du chorégraphe français Thierry Thieû Niang, des New Yorkaises Jil Guyon et Tamar Rogoff et de la Franco-Algérienne Nacera Belaza.
« Danser, c’est accueillir, c’est l’imprévu. Danser, c’est choisir de changer ses habitudes. Statue […]. Être immobile ne veut pas dire qu’on arrête tout. On prend de la perspective. On change. Une nouvelle saison. Et l’on continue. »
— Thierry Thieû Niang, aux danseurs à Saint-Jean-Port-Joli (août 2017)
