Présentée en première mondiale le 9 mars prochain
FRAGILE Le printemps perdu de Denis Poulin ouvrira Cinédanse Rouyn-Noranda le 9 mars 2022
Montréal, le mercredi 1er décembre 2021 – Présentée en première mondiale au Petit Théâtre du Vieux Noranda, la nouvelle création FRAGILE Le printemps perdu du montréalais Denis Poulin ouvrira la 4e édition de Cinédanse qui se tiendra – après Montréal, Québec et Ottawa – à Rouyn-Noranda du 9 au 16 mars 2022.
Cette oeuvre hybride inspirée par le Sacre du printemps que signait feu, sa compagne de vie Martine Époque, la grande pionnière de la danse contemporaine au Québec, est issue des nouvelles technologies, notamment de la capture de mouvement (MoCap) qui a fait la renommée de Denis Poulain de par le monde, jusqu’à Hollywood. Elle a été produite avec la grande complicité des studios REAL by Fake, basés à Montréal et Los Angeles. Sur scène et à l’écran : trois des solistes de la distribution originale, Manon Levac, Charles St-Onge et Philippe Vita.
FRAGILE, c’est le passage du temps et l’apprivoisement du fait de vieillir. FRAGILE, parce que c’est une prise de conscience que la vie nous impose, tôt ou tard. Il y a un moment où chaque individu constate que la vie est FRAGILE.
En première partie, les nouveaux courts-métrages de deux artistes du Québec qui s’illustrent en danse à l’écran sur la scène internationale :
Axiomata de Béatriz Mediavilla de Rouyn-Noranda
Peu importe la couleur de notre peau, nos origines, notre genre ou notre âge, nous sommes tous des corps en mouvement.
Prendre le nord de Chantal Caron de Saint-Jean-Port-Joli
Prendre le nord avec les oies blanches dans leur grande migration. « Aujourd’hui, avec ma troupe d’interprètes, je veux en être témoin. »
Profitez du tarif pré-vente à 15$ ! Achetez vos billets dès maintenant!
Au menu de l’événement
dont la thématique est Aimer, vieillir et danser !
- Une demi-douzaine de performances ;
- Une quarantaine de films d’art, dont une demi-douzaine de documentaires et huit courts métrages réalisés par de jeunes autochtones et produits par Wapikoni Mobile ;
- L’exposition-installation Oui ! Du Refus global au temps de l’inclusion et de la fluidité des genres, issue du commissariat France-Québec entre Ciné-Corps (France) et Cinédanse, présentée au Musée d’art de Rouyn-Noranda (MA) ;
- Les rencontres professionnelles ouvertes au public, Regards sur nos danses à l’ère numérique destinées à mettre en réseau 20 acteurs stratégiques du Québec, du Canada et de l’étranger avec les artistes invités ;
- La 3e édition du Prix Lumière, remis par un jury international à un.e artiste pour une œuvre exceptionnelle ;
- La seconde édition du Symposium Guérir les blessures – Nouvelles perspectives en danse et en santé dans nos communautés – trois jours de projections et d’échanges entre artistes, chercheurs et le public, organisée en collaboration avec l’École d’études autochtones de l’Université du Québec en Abitibi Témiscamingue (UQAT) ;
- Des apéros dansants avec DJ ;
Restez à l’affût de nos publications sur nos réseaux sociaux et sur notre site internet pour connaitre la programmation détaillée qui sera dévoilée lors d’une conférence de presse en février prochain.
Et nous danserons dans la neige !

© FRAGILE Le printemps perdu, de Denis Poulin
À propos de Cinédanse
Fondée par Sylvain Bleau en 2011, La Caravane de Phœbus, organisme porté par des valeurs humanistes et progressistes – producteur de l’évènement Cinédanse et d’activités connexes, œuvre en danse et dans plusieurs autres disciplines qui lui tournent autour : le cinéma, les arts visuels et les arts numériques.
Les trois éditions précédentes de Cinédanse se sont tenues à Montréal en 2012, à Québec en 2015 et à Ottawa en 2019. À l’été 2017, Cinédanse invite la cinéaste Béatriz Mediavilla de Rouyn-Noranda à suivre la tournée d’ateliers offerts par l’inspirant chorégraphe français Thierry Thieû Niang à des groupes d’aînés auxquels s’étaient joints des jeunes, aux quatre coins du Québec, dans le but de questionner notre rapport trouble à la vieillesse, aux liens à redéfinir entre les générations. Son film-poème Habiter le mouvement : un récit en dix chapitres émeut et remporte, ici comme à l’étranger de nombreux prix. L’Abitibienne s’est notamment vue décerner le Prix de la meilleure oeuvre canadienne lors du plus récent Festival du film sur l’art de Montréal (FIFA) en mars dernier.
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Relations de presse
Camille Dallaire, chargée des communications
(819) 279-8203 / com@cinedanse.ca