29 juin 2023 | Journée « Guérir les blessures »
Journée « Guérir les blessures »
Cinéma du Centre
220 Boulevard Saint-Pierre O, Caraquet, NB E1W 1A5, Canada
Bienvenue à tous de 9h00 à 16h30 | Gratuit | Table ronde, conférence
La journée “Guérir les blessures” est inspirée du titre du film de la jeune artiste Anishinaabe Darian Smith (Kitigan Zibi). Après la percutante première édition organisée à l’occasion de l’événement Cinédanse Ottawa 2019 et ensuite à Rouyn-Noranda en 2022, c’est à Caraquet que se tiendra la 3e édition de la journée “Guérir les blessures – nouvelles perspectives en danse et sur la santé.”
Ajouter à mon calendrierCette journée abordera la danse comme outil de guérison et d’émancipation. Nous mettrons en lumière des pratiques de la danse qui redéfinissent nos rapports à la vieillesse, à la maladie, à la santé mentale, auprès des personnes avec des troubles de motricité comme la paralysie cérébrale, auprès des personnes victimes d’abus et en milieu carcéral. Au cours de la journée, nous offrirons des ateliers, des projections, des échanges et des panels de discussions avec des conférenciers-invités issus de communautés autochtones, de l’Acadie, de Québec et l’étranger.
Films présentés
« Respirations / Histoires Digitales » (Extraits)
Une série de Ludivine Large-Bessette
Respirations / Histoires Digitales constitue le dernier opus de la recherche menée depuis plus de dix ans par la chorégraphe Claire Jenny et Sylvie Frigon, professeur en criminologie à l’Université d’Ottawa qui a recueilli les paroles des participants, sur l’impact de la création chorégraphique en milieu carcéral, à la lisière de la science et de l’art.
Réalisation : Ludivine Large-Bessette | Chorégraphe : Claire Jenny | France | 2019 à 2022 | 48’
« À l’intérieur »
Un film de Claire Juge (France) avec Ariane Boulet (Montréal)
Sandrine, Jacques, Elsa et Dina se retrouvent tous les lundis après-midi dans un studio de danse de Lyon. Emporté.e.s par la chorégraphe Ariane, ils/elles apprennent à se mouvoir, à sentir leur corps, à se toucher. Tous et toutes amateur.rice.s, leur corps portent les marques de leur vécu pas toujours simple. Ils sont soignants et patients de l’hôpital psychiatrique du Vinatier et, ensemble, ils apprennent à danser.
Échange avec le public en présence de Claire Juge.
Production : 24images | Réalisation : Claire Juge | Montréal | 2022 | 52’
Bande annonceCe film est en nomination pour le Prix Lumière – Volet Documentaire
12h Lunch beat bénaise avec DJ MKW (Caraquet)
Atelier pour les jeunes et les ainés de Dji Haché
Centre culturel de Caraquet/Centre de bénévolat de la Péninsule Acadienne
220 Boulevard Saint-Pierre O, Caraquet, NB E1W 1A5, Canada
13h à 14h30 | Gratuit | Places limitées pour 10 jeunes et 10 aînés
Atelier pour les jeunes et les ainés de Dji Haché (Caraquet/Montréal) en collaboration avec le Centre de bénévolat de la Péninsule.
Ajouter à mon calendrier« Dans l’âge d’or et l’enfance, il y a des coeurs qui se rencontrent. Se prendre la main, se raconter des histoires, trouver sa poésie et danser sa vie. »
– Dji Haché
Fondatrice des Productions Jardins Sauvages, directrice artistique et comédienne
Originaire de Lamèque et détentrice d’un baccalauréat en Théâtre à l’Université de Moncton, elle joue et enseigne le théâtre pendant une douzaine d’années dans l’ouest canadien. Elle termine ensuite un certificat en chorégraphie au Grant MacEwan University d’Edmonton et une maîtrise en théâtre-danse à l’UQÀM. Mordue du jeu à la caméra, elle étudie avec Alex Brunheski, Jacqueline McClintock, Liane Simard, Jean-Pierre Bergeron et Roberto Sierra.
Par la suite, elle décroche quelques rôles principaux dans des courts-métrages et au cinéma indépendant. Elle fait partie du Théâtre Libre où elle joue, écrit et met en scène des textes inédits. Dji est aussi coordonnatrice de production et professeure de yoga. Elle crée Les Productions Jardins Sauvages en 2011. Un printemps s’est perdu dans la mer est le premier monologue qu’elle écrit mais le sixième projet de théâtre qu’elle dirige. Entremetteuse, passionnée et déterminée, elle aime rendre les rêves possibles.
La danse au Cœur des Premières Nations
14h30 à 15h15 | Gratuit | Table ronde
Panel de discussion et échanges avec le public en compagnie de Marie Kryszko, Shelly-Ann Robichaud, Thérèse Ottawa et Mélina Quitich-Niquay.
Vous retrouverez
Marie Stella Kryszko est fière d’être une gardienne du savoir traditionnel mi’kmaq et de son métissage hongrois. Elle est originaire de la Première nation de Pabineau, dans le nord du Nouveau-Brunswick, et vit sur le territoire traditionnel non cédé du peuple mi’kmaq. Elle a deux filles, sept petits-enfants et un arrière-petit-fils.
Le nom d’esprit de Marie est Lentukesq (femme-cerf qui marche avec grâce). Marie possède plus de 25 ans d’expérience dans le domaine des connaissances traditionnelles, des cérémonies et de la sensibilisation culturelle des Autochtones.
Marie déclare : “Partager mes connaissances sur la sensibilisation culturelle peut nous aider à nous comprendre nous-mêmes et à maintenir l’équilibre dans notre mode de vie quotidien. Pour que notre identité reste vivante et forte, nous devons nous rassembler et partager. Le rire est le meilleur des remèdes.”
Shelly-Ann Robichaud est une jeune dame âgée de 25ans. Elle vient d’une famille multiculturelle acadienne et autochtone Mi’kmaq de première nation d’Esgenoopetitj, Burnt Church, NB. Shelly a commencé à danser à l’âge de 4 ans et a depuis découvert sa vraie passion, il y a maintenant 18 ans, la danse traditionnelle autochtone; le “Fancy Shawl’’ .
Shelly encourage toujours les gens à explorer et à découvrir la richesse des différentes cultures. Elle est très fière de son héritage et a un désir continu d’apprendre à enseigner aux autres les notions de sa culture. Elle est coach et mentor dans sa communauté Esgenoopetitj (Burnt Church). Elle a offert plusieurs ateliers et a enseigné la danse traditionnelle du “Fancy Shawl’’. Elle a aussi été invitée à plusieurs événements culturels dans la province.
Artiste et réalisatrice originaire de Manawan Thérèse Ottawa rend hommage à son peuple et à sa culture avec des œuvres comme Le chemin rouge, un film réalisé dans le cadre du concours Tremplin NIKANIK, un programme parrainé conjointement par l’ONF et le Réseau de télévision des peuples autochtones (APTN) et qui vise le soutien des cinéastes des Premières Nations francophones du Québec. En 2012, Thérèse Ottawa a contribué à la création de Tewekan Vision, un centre de production ayant pour mission de renforcer la présence autochtone au sein de l’industrie canadienne du cinéma.
Artiste multidisciplinaire de Manawan, Mélina Quitich-Niquay travaille comme illustratrice-graphiste et a commencé à faire des courts-métrages en 2016. Depuis, elle en a réalisé cinq dont un gagnant d’un prix à ImagineNative. Elle est également lauréate du prix Jeune artiste Atikamekw (2016). Filmographie ● Metaperotin, VR, 03:44, 2019 ● Notcimik (Dans les bois • In the woods), Expérimental, 01:17, 2018 ● Happy song (version longue), 04:20, 2018 ● Le zoo va fermer dans quelques minutes, Expérimental, 01:30, 2017 ● Metapeckeka (2017), Expérimental, 02:20, 2017 ● Onicka (Réveille-toi • Wake Up), Expérimental, 01:41, 2016 ● Lettre à mon passé (Letter to My Paste Self), Expérimental, 02:59, 2016
« L’apparition du faune / Enter the Faun »
Un film de Tamar Rogoff (New-York)
Projection et échange avec le public
Cinéma du Centre
220 Boulevard Saint-Pierre O, Caraquet, NB E1W 1A5, Canada
15h15 à 16h30 | Gratuit
« Une histoire remarquable […] qui sera d’un grand intérêt non seulement pour les amateurs de danse, mais pour ceux dont leur vies ont été touchées par la paralysie cérébrale. »
— The Hollywood Reporter (2016)
« Ce faisant, elle a changé sa vision de lui-même et de ses possibilités. »
— The New York Times
« Enter the Faun / L’apparition du faune »
L’histoire rocambolesque du jeune comédien Gregg Mozgala, atteint de paralysie cérébrale, et de la chorégraphe new-yorkaise Tamar Rogoff. Elle voulait créer avec Gregg une nouvelle version de « L’Après-midi d’un faune » qu’avait signée Nijinsky. Elle lui a permis de réinventer sa démarche, sa vie.
Réalisation : Tamar Rogoff & Daisy Wright | USA | 2015 | 68ʹ
En présence de la chorégraphe — en direct de New-York —, qui échangera avec le public et les autres invités après la projection.
(Film avec sous-titres français)
« La danse du faune : autour des troubles de motricité »
Lors de la présentation du puissant documentaire Enter the Faun (2015), Tamar Rogoff parlera de l’expérience de création de sa nouvelle version de « L’Après-midi d’un faune » (1912), pièce-phare de Vaslav Nijinski, créée par les célèbres Ballets Russes de Diaghilev, avec l’interprète Gregg Mozgala. Elle a adapté ses techniques de création et d’enseignement à la condition physique de Gregg Mozgala; ce dernier a accepté de soumettre son corps et son esprit aux desseins de sa chorégraphe. Ainsi, ensemble, ils ont réinventé leur pratique et leur propre existence. Ils ont été invités dans le monde entier pour partager leur expérience, et ont monté, avec succès, des ateliers lors de plusieurs festivals et stages.
Bio
La chorégraphe new-yorkaise Tamar Rogoff explore les limites de l’être humain confronté aux circonstances extrêmes de son existence. Elle produit ses créations sur de vastes lieux inusités, comme par exemple : du haut d’un des édifices surplombant la Place du Lincoln Center, en pleine forêt en Biélorussie, sur des toits du Lower East Side, à l’écran ou dans des salles de spectacle traditionnelles.
Rogoff crée toujours à travers le prisme de nos possibilités intimes, en danse et au cinéma, et brise régulièrement le quatrième mur. Elle a travaillé autant avec les membres de la communauté d’où proviennent ses ancêtres morts lors de l’Holocauste que des vétérans de guerre atteints du syndrome post-traumatique, qu’avec le jeune comédien Gregg Mozgala atteint de paralysie cérébrale.
Expo-projections « OUI!
Été comme hiver… Pour célébrer la vie, l’amour, la mort, on danse »
27 juin au 1er juillet
Quai des artistes
47 Avenue du Carrefour. Situé sur le site du Carrefour de la mer.
5@7 | Gratuit | du 27 juin au 1er juillet | Expo-projections
À tous les quarts d’heure !
L’expo-projections « OUI! Été comme hiver… Pour célébrer la vie, l’amour, la mort, on danse » trace l’évolution de la danse à l’écran à partir de la fameuse « Danse dans la neige » (1948) de Françoise Sullivan signataire du Refus global. Les thématiques des œuvres, des films et de l’expo-projections qui résonneront au cœur de Cinédanse Caraquet amènent plus loin les réflexions humanistes qui ont forgé la programmation de nos événements.
Des créations de danse à l’écran qui questionneront le spectateur sur son rapport à notre intimité, à l’autre, à l’étranger, au couple, aux cycles de la vie, au lien entre les générations, à la vieillesse et à la mort.
La danse est un socle de guérison et d’émancipation démontré par bien des œuvres de cette expo-projections. Semblable à tous les bords de mer nordiques, la Baie de Caraquet regorge de colonies de méduses. Elles se détacheront des algues qui les emprisonnent lors de Cinédanse Caraquet 2023 pour provoquer une onde de danse à travers la communauté et notamment dans deux des cabanes du Quai des artistes.
Ajouter à mon calendrierÀ l’intérieur des cabanes, chaque groupe de visiteur sera invité par les médiateurs culturels à lire, au hasard, un poème des 5 poètes acadiens suivants :
- Georgette LeBlanc, Petits poèmes sur mon père qui est mort (2022), Éditions Perce-Neige.
- Jonathan Roy, Mélamine méduse (2023), Éditions Perce-Neige.
- Guillaume Lavoie, Les oiseaux sacrifiés, Édition Perce-Neige.
- Shayne Micheal, Fif et sauvage (2020), Éditions Perce-Neige.
- Felix Perkins, Boiteur des bois (2020), Éditions Perce-Neige.
SPECTACLE Programme Miroir
Boite-Théâtre
11, boulevard St-Pierre Ouest, Caraquet N.-B. E1W 1B6
20h à 21h15 | Contribution volontaire | Performances et poésie
Crédit photo : Étienne Boivin.
« 100x1x2 » surFace danse (Jalianne Li), en collaboration avec Collectif HAT et Xavier Richard
100x1x2 est un projet de la compagnie surFace Danse qui aborde les thèmes du temps et du lieu. Le projet s’articule autour de deux séries de 100 vidéos de danse improvisées d’une minute tournés en mode in situ (100 vidéos x 1 minute x 2 séries). La danseuse Jalianne Li les a filmé et publié sur les réseaux sociaux alors qu’elle voyageait à travers le Canada et les États-Unis en 2018 et lorsqu’elle était confinée dans sa maison et sa cour en 2020.
Ajouter à mon calendrierFace à de nouvelles difficultés et limitations, la performance 100x1x2 pose la question : comment pouvons- nous surmonter ce que la vie nous réserve ?
Bio
Jalianne Li est une artiste multidisciplinaire spécialisée en danse. D’origine mixte chinoise et écossaise, elle est basée à Moncton au Nouveau-Brunswick, territoire traditionnel non cédé des peuples Wolastoqiyik et Mi’kmaq. Après avoir obtenu son BSc, elle a étudié la danse à Trinity Laban, a fait son apprentissage avec Springs Danse Company et a fondé surFace Danse en 2012. Le travail de Li s’inspire de ses expériences, se nourrit de collaborations étroites avec d’autres artistes, est influencé par les espaces dans lesquelles elle crée, embrasse à la fois le mouvement abstrait et émotif et intègre la danse sur vidéo et projections. Li a également joué avec Satellite Theatre, Theatre New Brunswick, Connection Dance Works, Circus Stella et Danse En L’Air.
« Les Oiseaux Sacrifiés »
Avec la participation du poète de Caraquet Guillaume Lavoie qui lira un extrait de son nouveau recueil de poésie « Les Oiseaux Sacrifiés » (Ed. Perce-Neige).
Bio
Originaire de Caraquet, Guillaume Lavoie a été batteur pour différents groupes musicaux obscurs avant de tomber dans la poésie. Son écriture va droit au but et elle traduit une réalité plutôt sombre, sans devenir trop lourde. Les oiseaux sacrifiés, publié en mars 2023, est son premier recueil de poésie.
Projection « Cinédanse sous les étoiles »
Plage Foley
28 Rue Foley, Caraquet, NB E1W 1B6, Canada
21h30 à 23h | Gratuit | Projection en présence des artistes
Programme OUI ! E’E! AHA! EHE! AA! Au cœur des Premières Nations avec la participation des artistes autochtones Marie Kryszko (Pabineau), Shelly-Ann Robichaud (Mi’kmaq), Thérese Ottawa (Manawan), Mélina Quitich-Niquay (Manawan) ainsi que l’artiste Mi’kmaq Garry Sanipass de Tjipogtotjg.
Ajouter à mon calendrierListes des films Au programme
Programme OUI ! E’E! AHA! EHE! AA!
Au cœur des Premières Nations
Ce court métrage documentaire nous amène au cœur d’un véritable Pow-Wow traditionnel. En suivant le parcours de Tony Chachai, jeune Autochtone en quête d’identité́, la cinéaste originaire de Manawan se penche sur la culture, le passé et la transmission du savoir et des connaissances au sein des membres d’une communauté atikamekw. Mu par le désir de renouer avec sa famille et ses racines, Tony Chachai livre un témoignage touchant sur le chemin qui l’a ramené auprès des siens. L’aube de devenir père, il prend conscience de la richesse de cet héritage et célèbre ce passé en dansant dans un Pow-Wow aux côtés de son cousin Ronny Chachai.
Réalisation : Thérèse d’Ottawa | Québec | 2015 | 15′
Chorégraphie et concept de Barbara Diabo, dirigés par la réalisatrice autochtone Pepper O’Bomsawin. C’est Barabara Diabo, elle-même et son enfant qui danse dedans.
SMUDGE – Purification par la fumée [définition] : « Pratique utilisée par de nombreux peuples autochtones qui consiste à brûler des plantes médicinales et à s’immerger dans la fumée produite. Ce rituel purifie l’espace, convoque une énergie positive et disperse l’énergie négative tout en nous rapprochant de la Terre et de nos ancêtres. »
Deux générations, un passé et un avenir. La force de la tradition, l’isolement dans le monde actuel. Tous unis par le sang, unis par la Terre. Ce lien peut-il vaincre cette désolation?
Réalisateur : Pepper O’Bomsawin | Chorégraphe et danseuse : Barbara Kaneratonni Diabo | Kahnawake | 2020 | 5’20’
Un homme ordinaire de la ville se rend dans la forêt et construit un cercle de pierres. Ses gestes réveillent un esprit et le cercle devient alors un lieu de transformation.
Réalisateur : Julien Lanteigne | Performance : Garry Sanipass | 19’29
Au cœur des Premières Nations
La jeune Autochtone Darian Smith habite maintenant à Ottawa. Elle souhaite étudier en sciences infirmières au Collège Algonquin et devenir médecin. Produit par Wapikoni Mobile, ce court métrage qu’elle a co-réalisé a inspiré la thématique de Cinédanse Ottawa. « Healing Scars » porte sur les enseignements liés à la « robe à clochettes » (jingle dress) et ses fonctions de guérison. Après une chirurgie à cœur ouvert, Deedee entame la danse de la robe à clochettes. Ce film accompagne quatre jeunes femmes pendant leur apprentissage de cette danse de la guérison.
Réalisation : Darian Smith, Kristina Decontie | Nation : Anishnabe | Kitigan Zibi, Québec | 2014 | 5’20
Nodin exprime sa fierté́ d’être Anishnabe par la danse hip-hop.
Réalisation: Nodin Wawadie | Nation : Anishnabe | Kitigan Zibi, Québec | 2010 | 2’45
Odehimin c’est se reconnecter avec soi-même et réapprendre à s’aimer.
Réalisation: Kijâtai-Alexandra Veil- lette-Cheezo | Nation : Anicinape de Val d’Or | 2020| 2’45
Un poème personnel et bouleversant s’inscrivant dans le sillage du mouvement #moiaussi.
Réalisation : Elisa Moar | Atikamekw | 2018 |2’54
L’Origine de la Wolastoq: cette légende raconte la naissance de la rivière Wolastoq dont la forme est celle d’un arbre.
Après avoir assisté à son premier pow wow, Curtis Shanush décide de changer sa trajectoire. Dans ce film intimiste, il raconte sa transformation par la danse et la connaissance de sa propre culture.
Réalisation : Wanda Miniquaken | Eeyou – Cri/ Cree de Wemindji | 2017| 4’10
Une fille dans une cage, dans un zoo, dans ses pensées.
Réalisation : Mélina Quitich-Niquay | Atikamekw – partenariat avec l’UQAM | 2017 | 1’30
Danse avec fierté est un film à propos de la culture et l’identité Anishnabe. Comment est-ce de grandir et vivre dans une communauté Anishnabe, quels sont les défis et comment les gens passent par-dessus les difficultés.
Réalisation : Tammy Maranda | Anicinape du Lac Simon | 2013 | 5’20